Volume I

Volume II

Volume III

Greffe par approche.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camellia Atrorubens

Arbrisseau très vigoureux et rustique; tige ordinairement droite et raboteuse; rameaux rougeâtres, les uns droits, les autres courbés ; feuilles de plus de six centimètres de large sur neuf de long, ou ovales arrondies ou ovales allongées, bien acuminées, épaisses, compactes, fermes, dentées régulièrement, rapprochées, presque toujours réfléchies; sur lice supérieure plane, lisse, et d’un vert obscur : bouton fort gros, d’abord ovale-allongé, ensuite ovale-obtus, solidement attaché aux aisselles des feuilles, et å écailles calicinales verdatres ; fleur de onze a treize centimètres de diamètre (selon la force et la vigueur de la plante), double, d’un rouge carmin brillant, tirant un peu sur le vermillon et dont les nuances produisent un effet merveilleux. C’est une des plus belles variétés du genre, soit par sa brillante végétation, son feuillage et son port, soit par la dimension, la régularité et le beau coloris de sa fleur. Ce Camellia aime l’eau dans toutes les saisons, et, en été, l’ombre la plus complète, l’air libre et l’abri des vents du nord. Si on le traite differemment, ses feuilles commencent à se panacher, la floraison languit, et la plante tombe malade à la longue.

Camellia Arnoldi

Arbrisseau élancé, droit; rameaux distants bois veiné de rouge et de gris; feuilles de plus de six centimètres de large sur neuf centimètres de long, ovales-arrondies, peu acuminées, presque obtuses, distantes, épaisses, fermes, en parasol, largement dents et d’un vert terne; veines et nervures saillantes; bouton ovale obtus, a écailles noirâtres a la base et verdâtres an sommet; fleur d’environ onze centime très de diamètre, très pleine, à fond rosé tendre, ponctue de mille stries longitudinales plus ou moins foncées de rouge; pétales extérieurs peu nombreux, larges, imbriqués, irrégulièrement échancrés, renversés sur le calice: ceux qui les suivent sont très nombreux, tantôt étalés avec uniformité et formant alors une corolle parfaitement ronde et régulière; tantôt difformes, inégalement recoquillés et séparés de ceux de la circonférence, décrivant par leur ensemble une sorte de vase irrégulier et à bords renverses; centre concave, offrant tout autour des parois intérieures, quelques petits pétales jaunâtres et courts.

La corolle de cette plante se présente sous deux formes différentes : les premières fleurs sont presque toujours régulières; les autres le sont inégalement, mais toujours en coupe évasée, et ayant, quant à la disposition des couleurs, quelque ressemblance avec celle du Camellia rosa mundi, qu’elle dépasse presque du double en dimension.

Greffe en fente.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camellia Spoffhortiana Rosea

Arbrisseau robuste, bien fait d’une hâtive et vigoureuse végétation, d’un port évasé, droit, à branches bilatérales multiples, rapprochées : le bois ancien est d’une couleur jaunâtre, les rameaux sont gercés et d’un rouge brunâtre ; les feuilles ont environ quatre centimètres de large sur sept de long, sont ovales arrondies, acuminées, nombreuses, rapprochées, horizontales, à sommet recourbé, la surface supérieure en est lisse; les veines presque invisibles : elles sont dentées régulièrement et finement dans toute leur circonférence, d’un vert foncé ; les boutons, allongés, d’abord acuminés, plus tard obtus, nombreux, de moyenne force, a écailles calicinales verdâtres, forment des fleurs de neuf à dix centimètres de diamètre, semi-doubles, à fond blanc pur, striées tout le long des pétales de plusieurs lignes, les unes d’un rose tendre, les autres d’un rouge de sang : toutes de dimensions différentes, à corolle en rose étalée et bien faite, composée de douze à quinze pétales larges, réguliers, en éventail, un peu renversé au limbe, imbriqués, chacun marqué de deux ou trois lignes de carmin, qui vont du limbe à l’onglet. Ces lignes quelquefois partagent le blanc des pétales en deux parties égales, quelquefois elles sont larges, d’autres fois étroites ; souvent elles ne sont que des stries isolées et irrégulièrement placées ; ce qui donne a la fleur une singularité agréable.

Quelques étamines dressées avec grâce se montrent au centre de la corolle. Les styles sont courts, les anthères fertiles.

Les Belges ont nommé cette fleur tricolore, parce que les bandes qui paraissent sur les pétales, dont le fond est blanc, sont les unes d’un rouge foncé, les autres d’un rose tendre. Cette belle et élégante plante vient directement du Japon, d’ou elle a été importée en Europe, il y a peu d’années, par le célèbre M. de Siebold.

Il y a, sous ce nom, dans le commerce, un autre Camellia qui a fleuri dans nos serres pendant deux années de suite. Nous pouvons donc le signaler aux amateurs avec connaissance de cause. Ce Camellia est d’une végétation encore plus robuste que le premier : ses feuilles ont six centimètres de large sur dix environ de long, et sont très nombreuses ; les veines très apparentes ; les dents écartées, profondes et saillantes ; d’un vert très foncé. Le bouton a la même forme que celui du premier, et la fleur, au lieu d’être constamment marquée des trois couleurs susindiquées, est souvent d’un rouge cerise clair uni n° 2, et rend, dans ce cas, la fleur tout à fait insignifiante.

Camellia Granta

Le Camellia reticulata vient de la Chine. Importé en Europe en 1834 par le capitaine Rawes, ce Camellia est considéré par les botanistes comme une espèce distincte. Il diffère, sous tous les rapports, du Camellia japonica, par des feuilles raides, planes, et fortement réticulées, ainsi que par un ovaire soyeux, qui ne se rencontre par tel dans les autres espèces.

Sa tige est gérée, rougeâtre, droite, élancée ; ses rameaux sont d’une couleur jaunâtre, distants, fermes, allongés ; son port est régulier et élégant dans la jeunesse ; mais il devient peu gracieux et dégarni lorsqu’il a atteint une certaine force en un certain âge ; ses feuilles, d’un vert terne obscur, ont 5 centimètres de large sur onze de long ; elles sont oblongues, lancéolées, épaisses, rares, dentées presque invisiblement ; à la surface supérieure, qui est comme grenue, les veines sont profondes et innombrables ; à la surface inférieure, elles sont saillantes; le pédoncule est gros, droit et charnu ; le bouton est conique, long de presque cinq centimètres avant son épanouissement ; le calice est pentaphylle, à écailles jaunâtres ; la fleur est très grande, de 13 à 14 centimètres de diamètre, semi-double, d’un rouge cerise n° 1, approchant de la plus belle muance de la rose des peintres; les pétales sont au nombre de 20 à 23, larges, longs et ondulés, d’abord étalés sur le calice avec grâce, ensuite d’une manière lâche, et renversés sans régularité ; les étamines sont en nombre considérable, les unes droites, les autres courbées, paraissant au centre de la corolle ; les anthères sont larges et fertiles, d’un jaune brun sale qui fait tort à l’éclat des pétales.

Le Camellia reticulata, par une exception qui lui est tout à fait particulière, ne pousse qu’une seule fois par an, au printemps ; ce qui rend sa multiplication plus bornée.

Il n’est pas plus délicat que les autres espèces. Ses fleurs sont abondantes et complètes lorsqu’elles se développent de bonne heure, vers la mi-mars, avant la pousse ; ce qu’on obtient facilement en le plaçant dans l’endroit le plus éclairé et le plus chaud de la serre, près des vitraux, et en l’arrosant modérément et souvent lorsque la terre commence à sécher.

Le Camellia reticulata est sans contredit le plus beau de tous les Camellias qu’on possède en Europe.

Sa fleur est la plus grande de toutes celles de son genre ; sa culture est facile ; son prix modéré ; mais, à notre grand regret, il n’est pas assez répandu dans nos jardins pour répondre aux progrès auxquels l’art horticole le destine de nos jours. Doué par la nature des moyens organiques sexuels dans l’état le plus complet, et paré des caractères les plus séduisants, le Camellia reticulata est appelé à jouer tôt ou tard un rôle important dans les annales de l’horticulture moderne, et à produire peut-être une de ces heureuses révolutions physiologiques qui, favorisés par les secours de l’art et de la science, tendent à perfectionner la nature. C’est, aussi dans cet espoir, qui nous parait bien fondé, que nous invitons les horticulteurs des pays méridionaux, principalement les Italiens, à se livrer d’une manière toute spéciale à la culture de ce magnifique arbrisseau, afin de l’amener à donner dans notre hémisphère une fructification abondante. C’est à ce seul et unique but que doivent tendre tous leurs efforts ; et, s’ils persévèrent patiemment, nous sommes porte à croire que leurs essais seront couronnés des résultats les plus heureux. Nous osons même prédire que dans un temps non éloigné de nous, dans dix ou quinze ans peut-être, cette belle espèce aura tellement amélioré les variétés du genre, qu’il ne sera pas rare de voir des fleurs de Camellia égaler en dimension celles des pivoines arborescentes, et, de plus, les surpasser en beauté par la régularité de leurs formes et par la bizarrerie des nuances de leur coloris.

Greffe en placage ou de côté.

Camellia Ochroleuca

Parmi les variétés les plus recherchées, les plus bizarres et les plus nouvelles que l’on ait obtenues en Europe par le doyen des semis, vient certainement se placer le Camellia Colvillii. Ni la Chine, ni le Japon, ni même l’Amérique, ne nous ont jusqu’ici envoyé rien de comparable à cette variété. Ces pays ont bien donné des Camellia à fleurs panachées, tigrées, vergetées, rayées même comme le Camellia tricolor mais ils ne nous en ont encore fourni aucun à fleurs striées ou ponctuées comme le Camellia punctata nés de nos cultures.

Les Camellia à fleurs striées appartiennent donc exclusivement à l’Europe ; et c’est là certainement, en ce genre, un triomphe complet que notre horticulture a remporté sur celle de la Chine et du Japon. Mais comment sommes-nous arrivés à ce beau résultat ? C’est ce que nous dirons plus tard.

Cette réflexion aurait peut-être dû trouver place que lorsque nous parlerons du Camellia imperialis, car c’est cette variété qui, sortie du Camellia punctata simplex, offrit la première fleur striée qui ait paru dans nos jardins. Le Camellia Colvillii date d’une époque plus récente ; c’est en 1830 qu’il fut introduit dans le commerce, et c’est aux horticulteurs anglais qu’il dut son origine.

Le Camellia Colvillii est un arbrisseau vigoureux, rustique, et d’une culture très facile ; le port en est superbe ; sa tige, s’élevant verticalement avec uniformité, est ordinairement garnie de branches latérales régulièrement coordonnées, et richement décorées d’un ample feuillage bien nourri, bien étalé, et d’un vert très obscur : ses feuilles, d’environ 9 centimètres de large sur 12 de long, sont larges, nombreuses, ovales-arrondies, légèrement acuminées, un peu recourbées en dessous au sommet, épaisses, horizontales, formées un peu en coquille renversée, enfin supportées par un pétiole court, gros, charnu ; la surface supérieure en est fortement raboteuse, inégale : les nervures sont très prononcées ; les dents très profondes.

Le bouton est fort gros, obtus, presque sphérique ; les écailles calicinales sont d’un vert obscur. La fleur, de 10 à 11 centimètres de diamètre, est très pleine, à fond blanc lavé de rose clair, et strié d’un rouge carmin plus ou moins foncé : les rangs extérieurs des pétales ne sont pas nombreux : ceux-ci sont larges et planes, les uns étales avec régularité, les autres tourmentés et obliquement renversés ; les suivants sont moins larges, de différentes dimensions, et irrégulièrement disposés ; ceux-ci sont étales et droits, ceux-là couchés et tourmentés, tous plus petits que les premiers, serrés entre eux, el formant, par leur réunion compacte, une boule arrondie d’un grand diamètre : disposition qui donne à la corolle un aspect magnifique.

Camellia Atropurpurea nova

Arbrisseau branchu, robuste, rustique, d’un port élancé ; rameaux divergents, nombreux, tortueux, à écorce rougeâtre, d’une croissance facile. Feuilles de 6 centimètres de large sur 13 de long environ, rapprochées réfléchies, lancécolées, un peu tourmentées, largement dentées, à sommet courbe en dessous, d’un vert foncé, à veines apparentes, luisant, à pétiole très court. Boutons obtus, gros, nombreux, au nombre de deux à quatre sur l’extrémité des anciennes branches, à écailles calicinales rougeâtres. Fleur de plus de 11 centimètres de diamètre, plus ou moins, selon la force de la plante, double, d’un rouge cerise foncé, tirant sur le pourpre : pétales de la circonférence sur plusieurs rangs, oblongs-obtus, en cuiller converse, d’environ 4 centimètres de large sur 5 de long, échancrés au sommet, et dentelés ou fimbriés a la partie supérieure du limbe ceux de l’intérieur, nombreux, allongés, étroits, de forme diverse, en masse régulière, et formant un centre assez large, bombé inégalement, et entremêlé d’étamines a plupart fertiles.

Cette variété fleurit chaque année de bonne heure et presque la première de toutes. Elle se couvre de boutons qui se développent tous facilement si on a eu la précaution de l’entretenir dans des circonstances réglées de chaleur et d’humidité. Si au moment de sa première floraison, elle est frappée par un air trop froid, le développement de ses boutons s’arrête, ou ils s’ouvrent imparfaitement et avec difficulté. La manière de la faire fleurir complétement est, ou de la tenir dans l’endroit le plus froid de la serre pour l’empêcher de fleurir de trop bonne heure, ou de favoriser sa floraison précoce par le moyen d’une exposition chaude, constante et éclairée.

Greffe par approche en bouture.

Camellia Delsii

Arbrisseau pyramidal et d’une végétation rapide ; rameaux nombreux, diffus ; port gracieux, régulier ; écorce grisâtre. Feuilles de 9 centimètres de large sur 11 centimètres environ de long, rapprochées, acuminées au sommet, arrondies a la base, ovales-elliptiques, à pointe recourbée en dessous, luisantes, horizontales, profondément veinées, d’un vert foncé. Bouton obtus, très gros, a écailles calicinales verdâtres. Fleur sphérique, pleine, fond d’un blanc pur avec quelques lignes rares d’un rouge foncé, de 11 centimètres environ de diamètre ; pétales de la circonférence sur quatre rangs, entiers, larges, épais, arrondis, étalés horizontalement, et séparés les uns des autres ; ceux du centre assez larges, coquilles, sinueux, irréguliers, plissés et imbriques inégalement ; corolle en rosace régulière, bien faite, et d’un effet magnifique.

Cette plante a été obtenue de graines en Italie, en 1832 ; elle fleurit facilement lorsqu’on a soin de la placer dans un endroit bien éclairé de la serre. Sa culture n’exige aucune autre particularité. Lorsque la fleur est exposée au soleil, elle exhale une légère odeur assez suave, et qui participe un peu de celle de l’Oranger ou de l’Acacia.

Camellia Loukiana

Arbrisseau rustique, pyramidal, à branches longues, droites et flexibles ; à rameaux rapprochés, ondulés, et revêtus d’une écorce de couleur brunâtre. Feuilles ovales-lancéolées, tourmentées, recoquillées, nombreuses, horizontales, à pointe recourbée en dessous, à nervures saillantes sur la face supérieure, finement dentées et d’un vert terne, de plus de 5 centimètres de large sur environ 11 de long. Boutons sphériques, assez gros, à écailles calicinales verdâtres. Fleurs de 11 centimètres de diamètre, pleines, d’un rouge cerise clair nuancé de laque carminée ; pétales ovales, larges, allongés, terminés en pointe au sommet, imbriqués tous alternativement, avec une admirable régularité, du centre à la circonférence, et au nombre de soixante-dix à soixante-quinze : ceux du milieu sont souvent striés ou marqués de taches d’un blanc terne ; la corolle est parfaitement ronde et régulière, quelquefois panachée de blanc. Dans cette variété, le bouton commence à rougir au sommet dès l’automne, et se développe entièrement au milieu de l’hiver.

Greffe par approche sur bouture.

Camellia Manettii

Arbrisseau d’un port élancé, pyramidal, de médiocre déviation, à branches allongées garnies de rameaux distants, à écorce grisâtre. Feuilles plans, rapprochés, ovales-oblongues, régulièrement dentes, de plus de 108 millimètres de long sur 6 centimètres de large ; atténués aux deux extrémités, dont la supérieure est réfléchie en dessous d’un vert-pomme luisant. Bouton ovale-allongé, acuminé, à écailles verres. Calice à cinq divisions vertes, papyracées, rosées à la base, larges de 11 millimètres et longues de 18. Fleur de 10 à 11 centimètres de diamètre, semi-double, à fond rouge cerise foncé, maculé de larges taches blanches ; pétales au nombre de 20 environ, de plus de 10 millimètres de long sur 27 de large; ovales-oblongs, obtus, entiers, en cuillère, écartés, tigrés ou jaspés de blanc, dont les teintes se fondent et se perdent par degrés ; le cœur de la corolle composé de 4 à 6 pétales recoquillés, entre lesquels on aperçoit plusieurs étamines fertiles, et d’autres à l’état pétaloïde.

Ce Camellia existe en Europe depuis 1830 ; c’est M. le docteur Siebold qui l’y importa de la Chine. Confié aux soins éclairés de M. Doncklaër directeur du Jardin royal de Gand), à qui il fut dédié, ce Camellia entra deux ans après, par souscription, dans le commerce, et occupa bientôt une place distinguée dans toutes les serres d’amateurs. Cette plante ne donne pas toujours des fleurs panachées ; elles sont quelquefois d’un rouge uniforme, et perdent alors leur mérite principal, consistant dans l’élégance de leurs panachures. On voit souvent suinter du centre de l’ovaire de ce Camellia une liqueur douce, mielleuse et claire, ressemblant au sirop de gomme. Il a fructifié dans plusieurs jardins européens, mais nous n’en connaissons pas encore le résultat.

Camellia Spectabilis de Loddiges ou Loddigesii

Arbrisseau vigoureux, d’un port élégant, et d’une végétation rapide à rameaux droits, rapprochés, divergents ; à écorce un peu raboteuse et cendrée. Feuilles de 10 centimètres environ de longueur sur 7 de largeur, ovales-obtuses, presque rondes, dentées, peu veinées, d’un vert obscur, très luisantes, planes. Boulon très gros, à écailles calicinales blanchâtres au sommeil, jaune-noirâtre à la base. Fleur de 11 à 12 centimètres de diamètre, pleine, d’un rouge cerise peu vif ; pétales extérieurs quadrisériés, renversés, festonnés, échancrés assez profondément au sommet, et régulièrement imbriqués, larges de près de 54 millimètres ; ceux de l’intérieur petits, chiffonnés, très courts, ramassés, formant un centre assez large, et renfermant à leur base quelques étamines ; corolle ronde, régulière, déprimée, d’un effet magnifique

Ce Camellia fleurit facilement chaque année. La surface supérieure des pétales n’est pas exactement plane et lisse, mais légèrement ridée, presque chiffonnée ou granulée, et d’un rouge un peu terne ; particularités qu’on n’a jusqu’ici rencontrées dans aucune autre variété. La fleur garde sa fraicheur pendant près d’un mois si on a soin d’ombrager la plante contre l’action trop vive des rayons solaires durant le temps de sa floraison.

Greffe en approche par le moyen de l'eau.

Camellia Stephany

Arbrisseau élevé, ordinairement droit, d’un beau port, qu’il doit à son feuillage ample et bien disposé ; rameaux diffus, allongés, souvent courbes par la pesanteur des fleurs dont ils sont couverts ; écorce grisâtre. Feuilles ovales-allongées, très acuminées, rapprochées, horizontales ou dressées, à surface supérieure plane, finement granulées, profondément dentées, d’un vert obscur, de plus de 11 centimètres de long sur plus de 8 de large. Bouton très gros, obtus, à écailles calicinales vertes ; sépales bruns à la base et jaunâtres au sommet. Fleur de 12 : 13 centimètres de diamètre, double, quelquefois en forme de coupe évasée, souvent aplatie, d’un rouge-cerise clair presque rosé, plus ou moins foncé selon la saison ; les pétales du premier rang sont peu nombreux, larges de 4 centimètres et longs de plus de 5, en gouttière, échancrés au sommet, tales avec uniforme et de manière à figurer une corolle arrondie et comme étoilée ; ceux des rangs suivants sont allongés, ovales aigus, moins larges, et affectent la même disposition que les premiers ; ceux du centre, encore plus petits, mais nombreux, sont touffus, allongés, serrés comme dans le Camellia anemoneflora, et forment un cœur relevé, irrégulier, large d’environ 4 centimètres de diamètre : quelques-uns de ces derniers sont veinés de lignes blanchâtres.

Celte variété fleurit facilement ; ses boutons sont réunis plusieurs ensemble à l’extrémité des rameaux, ils se développent successivement ; mais, pour jouir sûrement de leur floraison, il ne faut pas trop chauffer la plante : car, à la moindre variation dans l’atmosphère factice de la serre, la floraison avorterait. Il faut aussi, dans ce but, réduire le nombre de ses boutons, opération que l’on fait à la fin d’octobre avec un couteau droit, en coupant par la moitié les pédoncules des boutons qu’on veut ôter ; on les détache ensuite avec les doigts, en prenant quelque précaution pour ne pas blesser ceux qu’on veut conserver.

Camellia Duchesse d’orléans

 

Greffe de feuilles de Camellia en manière d'écusson.

Camellia Coquettii

 

C’est en mars 1837, lors de la grande exposition de Gand, à l’époque de l’inauguration du Casino Bota nique, que les jardiniers belges surent tirer un grand parti de cette belle variété. La description verbale de sa fleur, faite d’après un dessin mal colorié qu’on montrait dans tous les établissements de Gand, excita beaucoup d’enthousiasme parmi les amateurs de Camellia ; et, malgré le prix élevé (120 fr.) auquel on en vendait des greffes avec une seule feuille, l’affluence des acquéreurs qui se les disputèrent était si grande, qu’on ne pouvait se les procurer, même à ce prix, qu’avec beaucoup de peine, et que plusieurs amateurs quittèrent ce pays sans avoir été assez heureux pour en acheter. C’est aussi à cette époque qu’un jardinier de Gand, que nous connaissions très particulièrement, eut la complaisance de nous en réserver un joli petit individu qui, en 1838, nous donne une fleur parfaite. Voici la description de cette belle plante :

Feuilles de différentes dimensions ; les unes de 7 centimètres de large sur 1 décimètre de long ; d’autres plus grandes, ovales-arrondies, horizontales, à sommet un peu recourbé en dessous, largement dentées, d’un vert obscur. Boutons obtus, d’écailles rayées de noir et de jaune. Fleurs de plus d’un décimètre de diamètre, pleines ; à fond blanc, marqué de quelques stries rares d’un rouge pâle ; pétales extérieurs sur un ou deux rangs, très larges, épais, renversés, irrégulièrement disposés et échancrés ; ceux de l’intérieur tourmentés, ramassés, courts, larges, nombreux, inégaux, serrés les uns contre les autres par paquets, et formant par leur ensemble une touffe de plus de 7 centimètres de largeur. Corolle on anémone.

Cette plante est rustique, vigoureuse, facile à cultiver, très floribonde, et d’un port magnifique. Anglaise d’origine, son introduction en France ne date que de 1837. Les belges se sont plu à lui donner le nom de C. spectabilis maculata, et ici nous allons devoir émettre franchement l’opinion suivante :

Nous blâmons fortement cet usage de changer les noms. Comme moyen de spéculation3, nous la flétrissons à haute voix et de toutes nos forces ; comme effet d’amour-propre on de caprice, nous le désapprouvons également, car il entraine les amateurs à se tromper el augmenter leurs dépenses sans en trouver l’équivalent. Cette manière d’agir fait un tort immense au commerce, en même temps qu’elle déshonore ceux qui s’en rendent possibles.

Le prix de cette variété est devenu maintenant très modéré, parce que ses couleurs et ses formes sont peu tranchées et diffèrent assez peu de toutes les varices ponctues que nous connaissons jusqu’à ce jour.

Camellia Carolinea

Le Camellia Fraserii est un arbrisseau doué d’une belle végétation, d’un joli port et d’une santé robuste. Il ne craint pas les variations de l’atmosphère et fleurit abondamment tous les ans avec facilité ; sa tige est droite, ramifiée, singulière, et garnie de branches latérales à partir du pied jusqu’au sommet. Ses feuilles, de 6 centimètres de large sur 8 de long, sont ovales-arrondies ; les unes horizontales, les autres inclinées ; toutes nombreuses, en cuillère renversée, profondément veinées, assez régulièrement dentées, à sommet un peu recourbé en dessous, d’un vert foncé ; le pétiole est droit, très gros et charnu. Boutons obtus, allongés, nombreux, solides, à écailles calicinales verdâtres. Fleurs de 9 a 10 centimètres de diamètre, doubles, d’un beau rouge-cerise n° 5, quelquefois moins foncé ; les premiers rangs des pétales extérieurs sont presque tous egaux, larges, arrondis, échancrés et bien imbriqués ; les autres sont entiers, ovales, bien étagés, un peu renversés, veinés de lignes verticales très fines d’un rouge sanguin ; ceux du centre, au nombre de cinq ou six, sont tortillés, dressés, entremêles d’etamines stériles, ou, pour mieux dire, de filets sans anthères; corolle évasée, en rosace, irrégulièrement arrondie. C’est une très belle plante, qui mérite une place dans les collections d’amateurs.

Greffe multiple sur le même sujet.

Camellia Walther Frédéric Campbell

C’est un arbrisseau très vigoureux, doué d’une végétation rapide et brillante, tendant à s’élever en pyramide ; le port est régulier les branches droites ; les rameaux, lorsqu’ils sont encore à l’état herbacé, sont gros, succulents, et se courbent sous le poids du feuillage ; ensuite ils se relèvent au fur et à mesure que leur bois s’aoûte ; l’écorce en est d’une couleur gris foncé. Les feuilles ont 9 centimètres de Iarge sur 16 de long : elles sont épaisses, fermes, planes, ovales-lancéolées, un peu acuminées ; le sommet en est un peu renversé ; les nervures fortes et saillantes ; la dentelure profonde : le pétiole a 27 millimètres de longueur, Le bouton est très gros, ovale-obtus, bien attaché dans l’aisselle, à écailles calicinales verdâtres. La fleur est à cœur déprimé, très large, de 13 centimètres de diamètre et quelquefois même davantage, pleine, d’un beau rouge-cerise clair, délicat et brillant ; les pétales extérieurs, disposés sur cinq ou six rangs, sont nombreux, épais, vernissés, larges d’environ 51 millimètres, imbriqués avec régularité, et souvent renversés avec grâce au sommet les uns sur les autres ; ceux du centre sont peu nombreux, petits, difformes, irréguliers, lavés ou stries de blanc, quelquefois même entremêles de quelques étamines ; la corolle, en pose régulière, forme un peu l’entonnoir au bord, et offre par l’élégante uniformité de ses pétales un effet magnifique.

Nous avons observé que dans cette variété les boutons ne paraissent que fort tard, après la première pousse, quelquefois même ils ne se montrent qu’a la seconde, et alors ils sont moins nourris et moins volumineux. Aussi, pour avoir de belles fleurs, il faut garder longtemps la plante en serre au printemps, dans une température constamment élevée, pour tâcher de lui faire produire des boutons de bonne heure.

Cette variété a été obtenue de graines, en Amérique, par M. Floy, de New-York, et a porté pendant longtemps le nom de ce cultivateur.

Pendant que le Grand Frédéric faisait tant de bruit en Europe, M. Wilder, de Boston, que nous n’avions pas encore l’honneur de connaitre, nous procurait l’agréable surprise de nous l’envoyer en cadeau du fond de l’Amérique, et l’individu qu’il nous adressait était tellement beau, et avait été si bien préservé de tout accident pendant la traversée, qu’il fleurit admirablement entre nos mains l’hiver même qui succéda a son arrivée. Que l’aimable M. Wilder, devenu depuis notre collègue et ami, trouve ici de nouveau les sentiments de notre profonde reconnaissance ; qu’il sache que l’individu qu’il nous adressa fleurit le premier en Europe, et que c’est d’après lui que Jung dessina la planche ci-jointe.

Plus tard M. Floy mit dans le commerce plusieurs autres Camellia plus ou moins méritants, qui, ayant été acquis par divers horticulteurs anglais, portèrent d’abord le nom du vendeur et ensuite celui de l’acheteur. C’est ainsi que l’on trouve dans les catalogues anglais et belges ces doubles noms ainsi accolés : Floy de Brougham, Floy de Loddiges , Floy de Joung, Floy de Wand, etc. Toutes ces plantes sont tant de variétés différentes, qui n’ont aucun rapport avec le C. Floy Grand Frédéric de cet ouvrage.

Camellia Anemonæflora Rosea de Low

 

Soins à donner aux Camellia nouvellement greffés et sevrés.

Camellia Linckii

 

Camellia Russelliana, Conspicua de Loddiges ou Lepida, nova

 

De la taille du Camellia.

Camellia Innocenza

 

Camellia Hendersonii ou Lombardii

 

Manière d'exécuter la taille et précautions nécessaires à prendre.

Camellia Tourresiana

 

Camellia Garvici ou Garviana

 

Du pincement du Camellia.

Camellia Amabilis Americana

 

Camellia Lady Brougham

 

Quelles qualités doit avoir une fleur de Camellia.

Camellia Venus ou Veneris

 

Camellia Cooperii

 

Pourquoi certains Camellia bien portants refusent-ils de fleurir ?

Camellia Heteropetala alba

 

Camellia Belle de Wilhelmshohe

 

Moyens d'empêcher les boutons de tomber.

Camellia Sacco vera

 

Camellia Bealii ou Palmer’s Bealii

 

De la conservation du Camellia dans les appartements.

Camellia Estheriæ (Smith Amer)

 

Camellia Brugmannii

 

Quel degré de froid peut supporter le Camellia en pleine terre, à l'air libre.

Camellia Cœlestina

 

Camellia Sacco de Lainate

 

Maladies du Camélia. Effets physiologiques.

Camellia Brownii vera

 

Camellia Colvillii Rubra

 

Rachitisme.

Camellia Elata de Chandler

 

Camellia Nicholsii

 

Chancissure.

Camellia Fasciculata Venosa vera

 

Camellia Maria-Antonietta

 

L'étiolement.

Camellia Carswelliana

 

Camellia Rosea virginalis ou alba virginalis

 

La brûlure.

Camellia Calciati

 

La coulure.

Camellia Palmer’s Perfection ou Palmer’s Cavendishii

 

Camellia Lucida

 

Le miellat.

Camellia Dahleni ou Rathmoreana

 

Camellia Cockii

 

La carpomanie ou floraison imparfaite.

Camellia Rubra Tenera

 

Camellia Fordii

La gelée.

Camellia Pæoniæflora grandiflora nova

 

Camellia Pulcherima Striata, Papilionacea, Josephinæ ou Ottonis

 

Maladies occasionnées par des insectes.

Camelia Amiri

 

Camelia Gelasii rosea

 

Les pucerons.

Camelia Incomparabilis vera

 

Camelia Rigida

 

Fourmis.

Camelia Billottii

 

Camelia Palmer’s Carminea

 

Pou de l'oranger.

Camelia Hellebuyckii, ou Moensiana, ou Adelaidea

 

Camelia Crimson Perfection

 

Lombrics.

Camelia Gubernativa

 

Camelia Regularis

 

Engluments divers. - Manière de les composer.

Camelia Heteropetala Rubra

 

Camelia Baltimorensis

 

Cire à greffer.

Camellia Mazeppa

 

Camellia Frédéric-le-Grand – Flore albo pleno

 

Englument ou onguent de Forsith.

Camellia Emilie Taverna

 

Camellia Bruceana

 

Onguent de Saint-Fiacre.

Camellia Serratifolia

 

 

Camellia Coccinea Pictorum

 

Sur les différents ustensiles et instruments nécessaires dans une serre à Camellia.

Camelia Anglica

 

Camelia Orphée

 

Des attaches.

Camellia Cruciata

 

Camellia Dicksonii

 

Tuteurs.

Camellia Maestosa

 

Camellia Colletti

 

Paillassons, manière de les faire.

Camellia Lady Sefton

 

Camellia Gioja

 

Toiles pour ombrager les Camellia.

Camellia Striped Major

 

Camellia Darsii

 

Serpette.

Camellia Regalis

 

Camellia Panceri

 

Sécateur.

Camellia Vespucius

 

Camellia Emma Robin

 

Greffoir.

Camellia Santiniana speciosa

 

Camellia Perfecta

 

Baromètre.

Camellia Bedfordii striata

 

Camellia Bradamanti

 

Thermomètre.

Camellia Decus Italicum ou Gloire d’Italie

 

Camellia Palmer’s superba

 

Hygromètre.

Camellia Galatea

 

Camellia Fenestrata alba

 

Etiquettes pour Camellia.

Camellia Sarniensis

 

Camellia Adrien Lebrun

 

Manière d'emballer les Camellia.

Camellia Bettina major

 

Camellia Lady Brougham

 

Sur les variations auxquelles sont sujettes les fleurs de Camellia, et sur le choix de plantes greffées et nouvellement sevrées.

Camellia Violacea superba

 

Camellia Alexandre-le-Grand

 

Pourquoi certaines variétés de Camellia, telles que les Varietaga, Elphinstonia, Chadlerii, Rex Bataviae, et autres, donnent-elles des fleurs bicolores panachées en hiver, et pourquoi sont-elles unicolores, rouge uni, au printemps ?

Camellia Marquise of Exeter

 

Camellia Princesse Bacciochi

 

Sur les Camellia Italiens, Anglais et Américains.

Camellia Dunlap’s Americana