Volume I

Volume II

Volume III

Dispositions intérieures de la serre à Camellia et des places que ces plantes doivent y occuper.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camellia Rollisoni ou excelsa

 

Camellia Rosa Punctata

 

Camellia Hallesia Vera

 

Camellia Triumphans

 

Camellia Gillesii

 

Serre chinoise ou hollandaise.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camellia Wallickii

 

Camellia Santiniana

 

Camellia Lineata

 

Camellia Macrantha

 

Camellia Superbissima

 

Du conservatoire.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camellia Colvillii Srtiata

 

Camellia Splendidissima alba

 

Camellia Campomolendina

 

Camellia Pomponia plena

 

Camellia Spiraliter imbricata

Bâche a multiplication.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camellia Picta alba

 

Camellia Ferdinandea

 

Camellia Incarnata

 

Camellia Wadii

 

Camellia Drummundii

 

Bâche à bouture ou aux greffes.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camellia Sherwodii

 

Camellia Fostergii

 

Camellia Sabina

 

Camellia Diana

 

Camellia Chandlerii

 

Des châssis.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camellia Vandesia superba

 

Camellia Smithii grandiflora

 

Camellia Ridolphii striata

 

Camellia Parckerii vera

 

Camellia Drouard Gouillon

 

Multiplication du Camellia.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camellia Floyi de Loddiges

 

Camellia Grunelli

 

Camellia Rachel Ruÿs

 

Camellia Alba plena

 

Camellia Lady Grafton

 

Des différents moyens employés en horticulture pour la multiplication du Camellia.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camellia Spofforthiana striata

 

Camellia Minuta

 

Camellia Venosa

 

Camellia Triphosa

 

Camellia Philadelphica vera

 

Semis du Camellia.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camellia Grandiflora superba

 

Camellia Maculata superba

 

Camellia Jussieuana

 

Camellia Parini

 

Camellia Landrethii

 

Quels sont les soins qu'on doit employer pour obtenir de bonnes graines de Camellia.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camellia Alba Lutescens

 

Camellia Magnifica nova

 

Camellia Victoria Antwerpiensis

 

Camellia Anemonæflora Warratah Sinensis

Camellia Anemonæflora Warratah Alba

 

Sur la fructification du Camellia. Manière de la féconder artificiellement.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camellia Mutabilis Maculata Exonii ou Oxoninsis

 

Camelia Francofurtensis ou Wellingtoniana ou Dark Fulgens

 

Camelia Madame la Duchesse de Nemours

 

Camelia Mile-Endi

 

De la récolte et de la conservation des graines du Camellia.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camelia Claritas ou Alba nova

 

Camelia Elata Cunninghamii

 

Camelia Formosa Youngii

 

Camelia Spectabilis Maculata Loddigesii

 

Les vieilles graines du Camellia bien conservées sont-elles préférables à celles de l'année.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camelia Juliana

 

Camelia Suzannah

 

Camelia Rex Bataviæ ou Roi des Pays-Bas ou Superba

 

Camelia Ameliæ

 

Manière de semer utilement les graines du Camellia et soins å donner aux semis.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camelia Appollinæ

 

Camellia Meteor

 

Camellia Sckrimakersii ou Mlle Libert

 

Camellia Loukiana

 

Repiquage des plantules de Camellia.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camellia Punicæflora

 

Camellia Elata Rollissonii

 

 

Camellia Rubra maxima

 

Camelia Youngii ou Floy de Young

 

Multiplication par marcottes, boutures et greffes.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camelia Magterii

 

Camellia Blood Coloured

 

Camellia Maria Dorothea

 

Camellia Corallina

 

Notions générales.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camellia Rosea superba nova

 

Camellia Parckerii

 

Camellia Haylockii

 

Camellia Monstruosa Italica

 

Marcottes en talon.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camellia Neriiflora

 

Camellia Dahliæflora Ignea ou Ignescens

 

Camellia Revisa

 

Camellia Spectabilis Grandiflora

 

Marcottes en l'air.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camellia Rugosa

 

Camellia Elegantissima Striata alba ou Dianthiflora striata plena

 

Camellia Egertonia

 

Camellia Teutonia (Grüneberg)

 

Boutures de Camellia.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camellia Coronota nova de Londres

 

Camellia Waardii ou Floy de Brougham

 

Camellia Clowesiana

 

Camellia Lowely Rose

 

Peut-on bouturer les feuilles de Camellia.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camellia Liliflora

 

Camellia Candolleana

 

Camellia Burcii Striped

 

Camellia Fimbriata alba

 

Des greffes en général.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camellia Brownii

 

Camellia Monfortiana 

Camellia Sophiana

 

Camellia Malibraniæ

 

De la manière d'opérer.

Plusieurs naturalistes du siècle dernier ont parlé du Camellia, Le Japon, ont-ils dit tous, est le lieu de son origine. Le père Camelli, jésuite, en a introduit le type en Europe en 1739. Sa fleur, très grande et très belle, d’un rouge vif, est simple ; son fruit est une capsule qui contient plusieurs noyaux. Les habitants du. Japon et de la Chine le cultivent dans leurs maisons de plaisance, à cause de la beauté de ses fleurs, et de son feuillage, toujours vert. Enfin, le Camellia est la plante la plus recherchée de son pays natal.

Toutes ces assertions étaient justes à l’époque où ces auteurs écrivaient ; elles étaient alors d’accord avec celles des voyageurs qui avaient jusque là visité les endroits les plus fréquentés du Japon; mais il en est une que les investigations de la science et les progrès de l’art viennent aujourd’hui contester : c’est le droit de paternité exclusive qu’on accorde en premier lieu à l’arbre introduit en Europe par le père Camelli. Le savant botaniste, docteur Siebold, dans son dernier voyage en Chine en 1830, osa pénétrer dans les forêts les plus solitaires du Japon, et là, il découvrit un arbre majestueux qui dominait, en géant, tous ceux qui l’entouraient : c’était le Camellia sauvage, Camellia sylvatica. Soumis à l’examen du botaniste voyageur, cet arbre lui offrit les particularités suivantes.

Le Camellia sauvage est un arbre de haute futaie, d’un port magnifique, d’environ 30 à 35 mètres d’élévation, ayant un tronc proportionné à sa hauteur, garni de fortes et larges branches latérales, et s’élevant majestueusement dans les airs. Ses feuilles sont plus étroites, plus allongées et plus compactes, que celles des espèces que nous connaissons ; sa fleur, qui parait au commencement d’octobre, est petite, simple, et renferme un système complet d’organes sexuels ; son fruit, très mince, est contenu dans une capsule rétrécie, glabre, ronde, couleur de rouille. Cet arbre, d’après l’opinion de M. Siebold, serait le véritable type normal de toutes les variétés de Camellia, et il aurait d’abord produit celui à fleurs simples, grandes et belles, dont parlent Thouin, Miller et Dauphinot. Ce dernier Camellia, après avoir donné naissance à d’autres variétés plus ou moins intéressantes, serait resté parmi les Japonais, et aurait été regardé par eux comme le type des Camellias du pays. Ce serait donc, non le type sauvage des forêts, mais le type cultivé par les Japonais, qu’aurait introduit en Europe le père Camelli.

Ces notions intéressantes et curieuses ont beaucoup d’importance pour nous, parce qu’elles nous conduisent à expliquer les progrès du Camellia par la culture ; mais elles nous écartent un peu trop de notre sujet, qui est la description botanique du Camellia, que nous verrons dans l’article suivant.

Camellia Myrtifolia ou Involuta ou M. Pendula ou M. Grandiflora

 

Camellia Leodora